Georgia et Adonis se sont rencontrés à la bibliothèque, et il l'a tout de suite abordée, comme il l'aurait fait avec n'importe quelle nana. En plus, celle-ci a déjà quelque points d'avance, rien que par son physique et sa manière d'être : ses cheveux sont blonds, pas très bien coiffés, ses yeux d'un bleu clair saisissant, son regard est happant, profond et direct, elle a le teint clair, presque sans défaut, ses jambes sont longues, galbées, musclées, bref aux yeux du français, elle est absolument magnifique, divine. Relation banale qui s'ensuit, entre les deux ? Oh, un peu plus, tout de même, non ? Si tout n'a pas bien commencé - elle l'a claqué alors que ça faisait à peine trois minutes qu'ils se connaissaient - ils se rendent compte aujourd'hui qu'ils ont les mêmes goûts, pour tout, tout le temps. Ils se chamaillent, sans arrêt, ils se battent aussi, ils se font la gueule, mais toujours pour des raisons idiotes, si bien qu'ils reviennent vite l'un vers l'autre, parce que malgré leur fierté respective - énorme - qui devrait les maintenir séparés, ils ne peuvent pas, ils s'attirent irrémédiablement. Ils ne veulent pas réaliser, bien sûr, qu'il se passe quelque chose de plus. Pourquoi devraient-ils, d'ailleurs ? Après tout, ils sont très bien, comme ça, non ? Ils ne savent pas encore qu'ils vont finir ensemble, qu'elle va être la femme de sa vie, et lui l'homme de la sienne ... Mais ça ne saurait tarder, parce que je l'ai dit, ils s'attirent, veulent être ensemble, toujours, tout le temps, si bien qu'à peine séparés ils s'envoient des lettres, alors qu'ils vivent dans le même château, ils se débrouillent pour se retrouver dans un couloir ou dans une salle de classe, juste pour se faire la bise ou se lancer quelques regards. C'est facile pour eux de se retrouver, et pas que parce qu'ils connaissent l'emploi du temps de l'autre par cœur, mais plutôt parce qu'ils le connaissent par cœur, cet autre. Adonis sait ce que pense Georgia en un regard, pas besoin de mots, elle est un livre ouvert, pour lui, mais s'il ne s'en rend pas compte, même s'il trouve ça normal. Une seule pensée de la Blonde échappe au français : elle l'aime. Mais c'est sûrement parce qu'il l'a aussi, cette pensée, mais qu'il ne le réalise pas non plus. Mais il va comprendre. Et là, sa vie va se clarifier, parce qu'elle n'aura qu'un but : Elle.

Adonis et Cassandre ont presque tout fait pour la première fois ensemble. Ils se connaissent depuis qu'ils ont trois ans, grâce à leur familles amies, et ne se sont jamais quittés. Les premières bêtises, c'est ensemble qu'il les ont fait. Ils ont découvert leur magie ensemble : ils s'étaient perdus dans la forêt de Fontainebleau, et ils se serraient si fort la main, avaient si peur, qu'une boule dorée avait fini par s'échapper de leurs doigts emmêles, et les avait guidés vers la sortie. Ils sont rentrés ensemble à Beauxbâtons, et c'était presque naturellement qu'à leur treize ans, ils se sont retrouvés à être en couple. Ils sont resté près d'un an ensemble. Ils ont perdu leur virginité ensemble. Adonis en garde un souvenir fabuleux. Mais il avait besoin de sa liberté, et se sentait prisonnier de cette relation. Alors il a rompu, mais leur amitié n'a pas été abîmée. Enfin pas du côté d'Adonis, en tous cas. Petit à petit, tout est redevenu comme avant, en mieux, même. Car ils pouvaient tout se dire, sans qu'un jugement mal placé vienne mettre son grain de sel et détruise la relation. Non. C'était une entente parfaite qu'ils avaient. Puis, ils ont tous les deux été choisis parmi l'élite des élèves de Beauxbâtons, et à nouveau ensemble, sont partis pour une nouvelle aventure, anglaise cette fois, à Poudlard.

Commençons par le commencement. Mr Black et M. Leroy travaillaient ensemble au Ministère de la magie. Ils sympathisèrent vite, les deux familles ayant beaucoup de points communs. Par hasard, ils se rendirent compte qu'ils avaient des enfants d'à peu près le même âge : Bellatrix, Narcissa et Andromeda d'un côté et Adonis de l'autre. Les deux hommes organisèrent donc plusieurs vacances où les deux familles se rejoignaient, en Angleterre ou en France. Tous les enfants s'entendaient très bien, particulièrement Narcissa et Adonis, qui avaient le même âge et beaucoup de points commun. Mais avec leur entrée dans leur écoles respectives, Poudlard et Beauxbâtons, les enfants se séparèrent, et ce n'est que 7 ans plus tard que Adonis retrouve Narcissa, à Poudlard. Les retrouvailles sont fortes en émotions, et leur amitié renaît. Amitié, rien que de l'amitié ? Nous verrons cela plus tard, pour l'instant, ils profitent du moment présent !

La Française -- Kaylee, comme évoqué dans le titre, c'est un peu la Sexfriend parfaite de Adonis. Pas de règles, pas d'habitudes, pas de jalousies, rien, à part du sexe, de la sensualité, du rire et une entente presque parfaite. Ils se côtoient depuis deux ans, et entre eux, ça a toujours fonctionné. Pas de limites, pas de règles, juste du plaisir. Leur relation ne tournent pas en rond, ils ne sont pas des petits habitués qui couchent le même jour toute les semaines aux même endroit, ça change, sans raison, sans futur, juste du passé, et surtout, du présent.

Même avant son arrivée à Poudlard, Adonis avait entendu parler de James Potter. Élève à Poudlard, joueur de Quidditch extremement doué, particulièrement beau, coureur de jupons, il était très populaire, et Adonis s'identifia évidemment à lui. Quelle ne fut pas sa surprise quand il apprit que la jeune fille, Lily Evans, qu'il avait rencontré dans un couloir du château alors qu'elle sortait du bureau du professeur de potions, M. Slughorn, à 8h apparemment pour chercher des ingrédients de potions, il ne la croyait pas vraiment d'ailleurs, dont le grand Potter était amoureux lui résistait ? Alors comme ça elle ne voulait pas de Potter ? Ah, il fallait que celle-là, il l'attrape ! Il fallait qu'il soit plus fort que cet anglais de pacotille ! Et il allait y arriver, par tous les moyens ! Lily devenait SON défi ...

Artémis, ah Artémis. Féministe engagée hein ? Oui, mais féministe engagée vierge, et ça c'est très très bon. Adonis la connait depuis longtemps maintenant, et ça fait trop de temps qu'elle lui résiste, ça n'est plus possible. Alors il fera tout pour l'avoir. Rien qu'un baiser. En attendant, il la taquine, un peu, beaucoup. Trop ? Oui, sûrement, mais il s'en fou. Ça le fait rire. Elle le diverti.
EVOLUTION - comme les pokémons : Ils ont couché ensemble. Ou ils ont fait l'amour, comme vous préférez, en tous cas il l'a dépucelé. Comment ? A vrai dire, il ne sait pas vraiment ... Ils avaient un devoir à faire ensemble, il a commencé à parler de sa mère, s'est mit à pleurer, elle l'a embrassé, et vous connaissez la suite ... Le matin, elle est partie. Il ne lui en veut pas, puisqu'il ne voulait pas plus. Mais même. C'était étrange ...

La Russe ; Premier jour à Poudlard. Un discours trop long d'un homme à la barbe trop longue. Blablabla, voilà ce qu'entend Adonis. Puis une blague, de la part de ce Merlin des temps modernes. Il rit, lui, mais pas grand monde ne semble avoir compris l'humour du centenaire. Personne, presque, sauf cette rousse, qui elle aussi, sourit. Leurs regards se croisent, et dès lors, se brûlent. Près d'une semaine plus tard, ils commence à partager le même lit très régulièrement. Qu'est ce qui différencie Sasha des autres conquêtes du français (et qu'est ce qui différencie Adonis des conquêtes de la jeune fille) ? Certainement leur ressemblance : oh oui, ils sont comme des homologues. Elle c'est la sang-pure (ou presque) russe, plutôt hypocrite avec sa famille, et lui l'est de la même manière, mais en France. Tout a commencé parce qu'ils avaient le même humour, et ils se rendent compte qu'ils ont la même vision de leur monde.
Pour pimenter leur relation, ils n'hésitent pas à se lancer des petits défis. Ils savent ce qui sera difficile pour l'autre, parce que ça l'aurait été pour eux aussi.
Tout commence à changer, maintenant. Adonis perd sa mère, et avec toute les autres femmes de sa vie (sauf une, peut-être) Sasha comprise, et ça ne lui plaît pas. Parce qu'outre le lit, ils sont amis. Il aime leur relation, mais ne peut s'empêcher de s'éloigner, il en a besoin. Elle aussi semble distante. Pourquoi ? Il n'en n'a pas la moindre idée. Mais il va se confier, et peut-être le fera-t-elle aussi.

Une blonde aux grands yeux bleus-verts plongés sur un énorme grimoire, voilà la première vision qu'eu Adonis eu de Pénélope. De toute façons, la Serdaigle a toujours un livre en main. Ca lui donne son charme. Elle est discrète, timide, rougit à peine quelqu'un la frôle. Alors il la frôle, tente de flirter avec elle, de la charmer. Ce n'est pas qu'elle ne répond pas, aux avances du français. C'est qu'elle ne les comprend pas, comme si sont cœur était ailleurs. Adonis ne comprend pas pourquoi, jusqu'à ce jour à la bibliothèque : elle est assise à quelques tables, Il la fixe un moment, s'imaginant toute sorte de nouveaux scénarios pour rentrer en contact, jusqu'à remarquer quelque chose : elle aussi, fixe quelqu'un. Bien plus discrètement, bien sûr, mais tout de même. Il ne faut que quelques secondes pour que Adonis trace ce regard, et trouve la personne auquel il était destiné : un autre Leroy. Enfin, Loriân, qui veut plus qu'on l'appelle Loriân mais Leroy bref, un vieil ami d'Adonis, Leroy de Louvière. Et le regard de la Serdaigle n'est pas anodin ... Il est rempli d'amour. Adonis a trouvé le moyen de rentrer en contact. "T'aimes pas le bon Leroy, chérie". La dernière phrase qu'Adonis a prononcé dans l'espoir de l'avoir un jour dans son lit : il l'a enfin compris, c'est impossible, son coeur appartenant déjà presque littéralement à Leroy. Ainsi donc, Adonis se tarit d'une mission : révéler tout le potentiel beauté de la petite serdaigle, pour que le Leroy la remarque. Comment ça, ça n'allait pas être facile ? Mais facile n'est pas Leroy !
Pénélope et Adonis sont donc devenus amis, proches. Il l'aide à marcher sur des talons de plus de 8 centimètres, lui fait acheter des t-shirt décolletés et lui offre des sous-vêtements en dentelle française, et tout ceci sans ambiguïté. Pourquoi ? D'abord pour la fierté, parce que si grâce à lui, Leroy la remarque, il en sera content. Ensuite, parce qu'il finit par l'apprécier, cette petite blonde, et qu'on aide les gens qu'on apprécie, n'est-ce pas ?

Adèle a été une des premières petites amies de Adonis, et ça signifie qu'il est restée plus longtemps avec elle qu'avec n'importe qu'elle autre nana. M'enfin. Adonis a très bien compris qu'elle n'était qu'un aimant à connerie. Elle est tombée amoureuse de lui. Mais pas du petit amour, nan. Un putain d'amour super lourd, qui la rend complètement dingue, alors que sincèrement, parfois, elle peut être très ... normale, gentille ! Elle lui a fait boire un filtre d'amour, un jour, pour vous dire ! Mais Adonis ne lui résiste que très rarement, en réalité, ou en tous cas ne résiste pas à l'appel à une relation sexuelle. Par contre, elle serait la DERNIÈRE qu'il choisirait s'il devait se marier avec une de ses conquêtes !
ÉVOLUTION : Comme Adèle fait aussi parti de l'échange, Adonis n'a pu se débarrasser d'elle. Il a même continuer à coucher avec elle, jusqu'à cette après midi de Mars, à Londres, où il a finalement trouvé la force de rompre, clairement. Bon, maintenant, disons que l'entente entre les deux n'est pas des meilleures ...

Adonis et Ivana se sont rencontrés d'une manière un peu étonnante. Tous les deux dormants dans les sous-sols, ils se sont, comment dire, "croisés" là bas. Croisés, ou plutôt... Bousculés. En effet, pour se mettre de bonne humeur Ivana avait cru bon de se cogner à l'épaule de Adonis. Mauvaise idée, puisque le jeune homme n'a absolument pas vrillé, même pas d'un cil,sous ce faible coup, mais elle ... Elle est tombée. Par terre, sur le sol froid des cachots de Poudlard. Oh non, le français n'avait pas jugé bon de l'aider, après tout, c'était elle qui avait commencé ! Adonis est poursuivi par sa réputation de séducteur de ses dames, alors évidemment qu'après une telle rencontre, ne pas tenter de l'avoir elle aussi entre ses filets d'amour serait une grossière erreur. Si Ivana le repousse, c'est certainement parce que le jeu est amusant. Il la cherche, elle le fuit, c'est comme un je t'aime moi non plus. Tous les deux font partie de cercles de sang-purs hauts-placés, il n'y a rien de mal à cela, alors, n'est-ce pas ?

Voilà une belle relation que Adonis a gaché à cause de sa stupidité. En effet, au début de l'année scolaire, première semaine de l'échange, il avait rencontré cette belle Mary, et aurait aimé en faire son amie, et plus si affinités. Ils s'entendaient bien, mais comme un idiot, il s'est comporté comme ... Comme... Comme un Adonis en bonne et due forme. Prétentieux, un peu arrogant, vantard... Tout ce qu'il ne fallait pas lui montrer. Elle s'est tout de suite retourné contre lui, chose que Adonis comprend tout à fait, et croyez moi, il s'en mord les doigts. Depuis, il essaye de se rattraper par tous les moyens possibles mais ... Ce n'est pas facile !
EVOLUTION : petit à petit, Adonis a adopté la haine qui Mary lui portait, et a fini par lui même, haïr la petite blonde gryffondorienne à la langue bien trop pendue ...

Pour moi, Bellatrix n'est rien de plus que la soeur de Cissa. On se connait depuis qu'on est gosse, et pourtant tous les deux, on a jamais, jamais réussi à s'entendre. Déjà petits, on aimait pas jouer aux même jeux, on faisait des compétitions idiotes pour savoir lequel de nous deux était le meilleur, tandis qu'avec Cissa, je passais toujours des journées merveilleuses. Pendant toutes ces années où nous avons été tenus loin l'un de l'autre, avec Cissa, parce que nos père ont eu un différent, j'ai gardé contact avec elle, lui envoyant une lettre par mois, au moins. Avec Bella, rien. Ça ne m’intéressait pas, d'avoir des nouvelles d'elle. Aujourd'hui, je suis à Poudlard. J'ai retrouvé ma Cissa, mon amie d'enfance, que j'apprécie tellement. Bella, elle, n'a pas l'air de voir tout ça d'un très bon oeil... M'enfin, elle ne m'empêchera pas de profiter de chaque minute que je passe avec sa petite soeur ...

Gaël Gaël Gaël Gaël ... Que dire une nouvelle fois sur leur relation ? Rien que la vérité et juste la vérité ? Adonis la trouve absolument magnifique, et il trouve aussi que elle et son "amoureux" du moment vont très mal ensemble. A vrai dire, elle est bien trop belle pour ce Serpentard ! Alors il s'amuse à la draguer ouvertement, tout Poudlard l'a déjà vu lui faire du rentre-dedans, dont le fameux amoureux Rabastan ! Mais qu'importe, c'est toujours drôle de briser les coeurs des amoureux, et puis, la petite Gaël ferait bien dans son palmarès ... Et puis, elle n'est pas vraiment contre la mignonne, et prend ça comme un jeu ! Alors, à quoi bon arrêter franchement ?
EVOLUTON : il a essayé. Il n'a pas réussi. Et maintenant, il regrette, plus que tout au monde. Pourquoi ? Parce qu'il a énervé le petit ami en question, qui pour se venger a décidé de rendre Madame Louise Leroy malade. Elle va mourir, et c'est à cause de lui. Et de Rabastan. Et de Gaël.

Boys, just do it!----Tell her you think shes cool. Tell her why you think shes so cool. Smell her hair. Talk to her in movie theatres. Pick her up and pretend youre going to throw her in the river; shell scream and fight you but secretly, shell love it. Hold her hand and skip. Hold her hand and run. Just hold her hand. Pick flowers from other peoples gardens and give them to her. Tell her she looks pretty. Let her pay for stuff if she wants to. Introduce her to your friends as The coolest girl I know. Sit in the park and talk to her. Take her to the library, and playgrounds, and train stations. Tell her dirty jokes. Tell her stupid jokes. Write poems about her. Just walk around with her. Throw pebbles at her window at night. When she starts swearing at you, tell her you love her. Take her to shows of bands shes never heard of. Hold her hand in the mosh pit. Let her fall asleep in your arms.

Tout avait commencé vingt-cinq ans plus tôt : deux jeunes filles, héritières de deux grandes familles de Sang Pur françaises, se rencontraient à un dîner, et une infaillible amitié se lia entre les deux adolescentes. Quelques années plus tard, elles se mariaient, toutes deux avec de très bons partis, des hommes d’au moins une dizaine d’année de plus qu’elles, l’un était un brillant avocat, l’autre dirigeait plusieurs sociétés magiques, aucune des deux n’était amoureuse, mais peu leur importait : leur amitié pouvait perdurer, et elle perdurerait, pour toujours. Les deux femmes tombèrent enceinte en même temps, toutes deux de garçons, qui naquirent avec quelques jours de différence, à l’extrême fin de l’automne 1959. Leur décision fut sans appel : leurs fils devaient grandir ensemble, ils seraient comme un frère l’un pour l’autre. Leur maris ne s’opposèrent pas à leur choix, de toutes façons, ce n’était pas comme si elles les avaient laissé une seconde contredire cette décision. Adonis et Alexandre passèrent alors leurs premières années ensemble, inséparables comme leurs mères, tels deux jumeaux. Ils se ressemblaient beaucoup, d’ailleurs, ils étaient blonds, à la même petite bouille mignonne, l’un avec les yeux miels, et l’autre bleu azur. Tout se compliqua quand ils entrèrent dans la quatrième année de leur vie : on était en 1962, et une rumeur faisait rage dans la haute société sorcière : Mesdames Leroy et Hautmont étaient soupçonnée de tromper leur mari, et de les tromper … ensemble.
Quand la rumeur remonta aux oreilles des hommes, la sentence fut lourde, pour elles du moins : elles ne devaient plus se revoir, plus jamais. La rumeur était-elle fondée ? En tous cas, elles ne furent plus jamais les mêmes. En même temps que leurs mères, Alexandre et Adonis furent séparés. Peut-être que ce qui fut le plus difficile, pour leur père, fut d’entendre leur fils leur demander quand est-ce que leur frère allait revenir à la maison. Ont-ils pour autant regretté la décision d’avoir écarté leur femmes l’une de l’autre ? Jamais : le scandale, et un d’une telle ampleur, c’est mauvais pour l’image.

Quand Adonis et Alexandre arrivèrent à Beauxbâtons, l’œil vif et neuf à toute la magnificence du palais qui s’offraient à leur vue, ils ne se reconnurent pas tout de suite. M’enfin, le destin semblait vouloir les réunir. Les lits qui leurs étaient assignés dans le dortoir des garçons étaient voisins, et ils s’étaient retrouvés par hasard à s’assoir aussi côte à côte lors du premier cours de leur scolarité, celui de Métamorphose. Vite, ils s’échangèrent leurs prénoms. S’il y avait un nombre inconsidérable d’Alexandre en France, le prénom Adonis n’avait rien de commun, et c’est avec le regard pétillant que Alex avait fait : « Leroy ? Adonis Leroy ? » . Telle le phénix, leur amitié renaissait de ses cendres, pour le meilleur, et pour le pire. Ils firent toutes les conneries ensemble. De natures assez différentes, ils avaient l’air de s’être trouvés, ils s’associaient parfaitement. Bien vite, quand les gens parlaient d’Adonis, ils sous-entendaient souvent Alexandre, et vice-versa.
Les deux garçons furent séparés à nouveau, pendant leur 5ème année, quand Adonis fit la plus grosse erreur de sa vie : Depuis un peu plus de trois mois, Alexandre sortait avec une fille nommée Hélène, qui aux yeux de tous, sauf des siens, était une peste. Adonis tentait de ne pas juger, mais il sentait qu’Hélène était mauvaise pour lui. Mais Alexandre était fou d’elle, profondément amoureux, autant que peut l’être un adolescent de quinze ans en tous cas. Un soir de vacances, un élève de Beauxbâtons fêta son anniversaire, et avait invité tout Beauxbâtons dans son énorme masure du sud de la France. Tout le monde s’était débrouillé pour venir, sauf Alexandre. Mais Hélène, elle, était là, tout comme Adonis, dont la réputation de séducteur invétéré était déjà formée, et ce qui devait arriver arriva : devant tout Beauxbâtons, elle embrassa Adonis, qui se laissa largement faire, et prolongea même ce baiser, puisque les choses doivent être dites.
Alexandre fut probablement le dernier au courant de cette histoire, à la rentrée suivante. Dès qu’il le vit, Adonis lui avoua tout, plus honteux et culpabilisé que jamais. Alexandre, à la suite de cette révélation, ne dit pas un mot ; il se contenta de s’éloigner. Pendant plus de six mois, malgré les excuses constantes d’Adonis, il resta loin, mutique comme jamais. Le pire dans cette histoire, c’était probablement qu’il avait pardonné à Hélène. Adonis avait l’impression de vivre dans une injustice constante, et de ne rien pouvoir y faire.
Mais les deux n’étaient probablement pas destinés à se séparer, ou peut-être pas tout de suite. Brutalement, Alexandre se remit à s’assoir à côté d’Adonis en cours, dans la Salle des Repas, tout d’abord comme si rien ne s’était passé. Ils se parlaient à nouveaux, riaient ensemble, mais paraissaient constamment … Gênés. Adonis ne pouvait se résoudre à laisser leur relation ainsi : quelque chose s’était cassé entre eux, et malgré tous les efforts d’Alexandre, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure, et pas que pour eux, mais pour tout Beauxbâtons. Adonis poussa alors la discussion, un soir, et ça dura toute la nuit. Je vous épargne ce qui s’est dit, sinon vous pouvez ajouter 1000 mots à ce RP. En tous cas, depuis cette nuit, Adonis avait retrouvé son meilleur ami, mais peut-être n’était-ce pas fait non plus pour durer ? Peut-être que les profiteroles allaient se retrouver sans leur chocolat, le bambin sans son doudou, la chaussette gauche sans la droite.

Adonis apprit qu’il partirait pour Poudlard en juin de sa 6ème année, et que ça se ferait sans Alexandre. Oh bien sûr, l’un comme l’autre s’y attendait, mais ça ne rendait pas les choses plus faciles. Evidemment, il y aurait Cassandre, Kaylee, Raphaël, et d’autres personnes importantes à la vie du français, mais ce n’était pas pareil. Il ne voulait pas être séparé d’Alex, mais il voulait partir en Angleterre. Ce n’était que pour un an, me direz-vous, mais qui vous dit qu’après, les deux garçons se retrouveront ? Après tout, c’était un pari risqué ! Adonis pouvait rencontrer des nouveaux amis dans ce château en Ecosse, tout comme Alexandre pouvait rapidement trouver un remplaçant à son meilleur ami. Un pari risqué, qu’ils avaient choisi de relever. Après tout, il fallait vivre avec ce que la vie avait à nous offrir, et elle offrait gros, aux deux amis : mettre à l’épreuve une ultime fois leur amitié. Si elle tenait, ils avaient tout gagné. Sinon …

Leroy/Leroy ♂ Leroy et moi, on se connait depuis un bail. Comment autrement, de toutes façons ? Nous sommes deux fils uniques issus des familles sang-pur les plus réputées de France. Cent fois on s'est croisé lors de dîners, de bal, de déjeuners, que ce soit dans la propriété de Louvière, dans la mienne, ou même dans celle d'autres sang-pur. J'ai toujours trouvé son père très ... austère, très strict. Mon père le vénère littéralement, pathétique. Mais la famille est partie s'installer en Angleterre. Nous les revoyions quelques fois, dans la demeure des Black, par exemple, chez qui on allait souvent passer les vacances. Puis, Leroy et moi sommes rentré dans nos écoles respectives, et nous nous sommes perdu de vue, pour longtemps croyais-je à ce moment là. Je m'étais toujours bien entendu avec lui. Puis j'ai appris par mon père qu'il avait fugué. Qu'il s'était enfui de chez lui, qu'il avait ridiculisé la famille de Louvière. Mon père m'a d'ailleurs menacé à ce moment là, me disant que si je faisais comme lui, je pouvais dire au revoir à l'héritage. En même temps, je doute que lui aie toujours droit à son héritage -haha. Mais bref, je suis rentré à Poudlard cette année, et nous nous sommes retrouvés, aux suites d'un malheureux -et hilarant- quiproquo causé par nos prénoms/Noms plus que similaires. Nous nous entendons bien, et je crois même que je peux le considérer comme un très bon ami. Sa vie m'intrigue. Les raisons qui l'ont poussé à s'enfuir attisent ma curiosité, et je me surprends même à l'envier, par fois ... A voir ce que ça va devenir ...

blabla sur les liens familiaux

[i]Les amis sont bien rares dans ce monde de brute, et pourtant, c'est bien l'amitié qui lie Azraël et Adonis. Ils se ressemblent, apprécient les mêmes (bonnes) choses, et sont rarement en désaccord. Une amitié simple et brute, sans rivalité mal placée et désagréable, non. C'est ... plutôt agréable, quelques fois, la simplicité. Pouvoir rire avec quelqu'un sans avoir une intention derrière, parler en ayant confiance, c'est franchement bon.

Qui l'eut cru ? Qui eut pu croire que Adonis ce serait fait un ami garçon à Poudlard ? Non mais parce que, ce n'était pas vraiment son but ... Vous, vous l'auriez cru ? J'en doute sérieusement. Sans compter que Dirk a 2 ans de moins que Ado'. Oui oui, il se passe des choses étranges à Poudlard dans la vie de notre français. Est-ce vraiment mal ? Eh bien je dirais que non. Une belle amitié qui commence dans un couloir de la bibliothèque, quoi de plus banal ? Peut-être, mais leur relation n'est pas banale. Dirk apprend beaucoup de choses au français. Des choses qui n'avaient jamais effleurée sa tête de sorcier et seducteur accompli. C'est bon ça !

Je connais Léandre depuis très longtemps, comment autrement ? Nos familles sont liées par le sang, en effet sa mère est la soeur de la mienne, donc ma tante. Sang-pur toutes les deux, il n'est pas rare que les deux familles ne se retrouvent pour je ne sais quel dîner, bien que la sienne soi carrément moins à cheval sur les règles de pureté. Autour de ça, lui et moi sommes amis, et à vrai dire, je l'admire beaucoup, avec son romantisme sans limite. Malgré lui, il arrive à profiter de sa vie, et à l'air plutôt heureux et bien dans sa peau, que demander de plus pour lui ? Je sais que je peux avoir confiance en lui, autant qu'il peut avoir confiance en moi. Il tente de mettre un frein à ma seduction effrenée de la gente féminine, sans vraiment y arriver, à vrai dire... Mais qui sait, peut-être qu'un jour j'aurais besoin de quelques conseils en romantisme et je pourrait me servir de ses techniques (a)

Tu comptes vraiment t'habiller comme moi ? ♂ Un jour Adonis se baladait tranquillemnt dans le Chateau, et il remarqua son trench beige au dos de quelqu'un qui n'était pas lui. Comment quelqu'un OSAIT porter le même manteau que lui ? Un autre jour, c'était le pantalon, et encore un autre, le sweat. Bientôt, Adonis avait mémorisé la tête de ce Gryffon arrogant qui lui ressemblait un peu trop à son goût. Oh, leurs échanges restent ... Cordiaux, mais ils n'auront plus aucune raisons de l'être s'il n'arrête pas ce plagiat sous peu !

C'est bête, vraiment bête. Adonis aurait bien aimé avoir une bonne relation avec James, vraiment ! Ils ont plein de points communs, dont leur passion pour les jolies filles... Oh les filles ... C'était une de leur espèce qui les avaient "séparés" à peine rencontrés ces deux sangs purs ! En effet, Lily Evans étaient leur "cible", à tous les deux ! James parce qu'il était éperdument amoureux d'elle mais Adonis simplement parce qu'il voulait l'avoir avant Potter ! Le Gryffondor n'avait pas vraiment apprécié apparemment ...

Les Dimitrov ... Quelle belle famille, puissante, riche, respectée. Tout ce qu'adorent mes parents, vraiment. On se croise souvent, aux dîners, aux bals entre Sangs-Purs dignes de ce nom. Et puis qui dit Dimitrov, dit héritier du nom, Vladimir. Et Vladimir et moi ... C'est pas la grande entente, si on reste politiquement correct. Je n'aime pas ses manières, je n'aime pas sa façon de me parler, de me regarder, comme si j'étais la dernière des merdes parce que je ne pense pas comme lui. C'est un prétentieux qui voudrait que tout le monde soit à ses pieds, mais je ne fonctionne pas comme ça. Malgré tout, une immense hypocrisie règne entre nous, pour les bonnes apparences. Ses parents n'ont pas envie de perdre l'amitié de mes parents qui ont une grande influence sur les familles sangs-pures françaises, et de la même manière, mes parents ne peuvent pas se permettre de perdre les liens qui les unissent aux Dimitrov. Ainsi, on fait tous les deux des efforts. Mais, nous nous retrouvons tous les deux cette année dans l'école anglaise. A voir jusqu'à quand cette fausse entente durera avant d'exploser ...

Raba-qui ? Rabastan ? Ah oui, ce gars qui sort avec la belle Gaël ? Adonis, ça ne l'a jamais dérangé de faire du rentre dedans à une personne déjà en couple, surtout quand l'amoureux vexé n'est pas quelqu'un qu'il apprécie particulièrement ... Alors pourquoi le français devrait changer ses vieilles habitudes ? Parce que le garçon concerné est un Serpentard ? Parce qu'il est violent ? Parce qu'il pratique la magie noire ? Ou peut-être parce que cette affaire va finir par tuer sa mère ?
EVOLUTION : Louise Leroy est malade, très malade. D'ici mai, elle sera morte. Pourquoi ? Ca fait longtemps qu'elle est malade, pourquoi est-ce que ça a empiré, là, comme ça, du jour au lendemain ? Peut-être est-ce à cause de cette potion qu'elle a ingurgité contre son gré, offerte bien gentiment par un Rabastan Lestrange terriblement en colère. Ce n'était pas sensé la tuer. Juste la rendre malade. Mais malade + malade ... MORT.