Et oui, souvent, il y en a du monde dans notre tête!

Entre les différents comptes, qu'ils soient DC, TC, QC, nos perso sont bien là! Alors, que sont -ils en train de faire en ce moment dans leur salle commune qu'est notre tête?

C'est très simple, vous marquez ce que vous pensez que vos perso font en ce moment dans leur salle commune perso, où ils ne sont que tous les deux, trois ou quatre etc. Ou même touts seuls, si vous n'avez qu'un seul compte! Mais que des comptes sur Fiz hein!



Je commence :

Georgia E. Prince fait les cent pas, visiblement très en colère, devant la vieille cheminée. Elle serre les poings, à tel point que ses jointures en deviennent blanches. Plus tôt, elle a surpris Adonis en train de draguer Séphy, sa meilleure amie, et ça lui a donné des envies de meurtre, sans qu'elle sache l'expliquer. Tout ce qu'elle sait, c'est qu'à l'instant présent, elle est très énervée. À un tel point qu'elle ne semble même pas remarquer Pénélope assise sur le canapé à côté d'elle.

Pénélope D. Gallianis est assise, ou plutôt roulée en boule sur le canapé, et torture depuis quelques minutes une de ses mèches de cheveux. Elle est plongée dans ses pensées; dans sa tête tourne en boucle le souvenir du bal de Noël de la veille, où elle a embrassé Leroy. Elle craint de devoir lui donner des explications à propos de son geste insensé...

Rabastan a pris la bonne résolution deux minutes plus deux, de mieux maîtriser ses colères. Rabastan vient de frapper un Serpy à lunettes qui émettait la possibilité de se montrer plus tolérant envers les sang-de-bourbe. Rabastan re-frappe le Serpy à lunette pour l'avoir poussé à briser une bonne résolution.
.............................................................................. (a)

MDR ! (pourquoi je découvre ce topic juste maintenant ? oO)

Gaël A. O. Dunkan range soigneusement ses cent paires de chaussures en sifflotant et en chantant "Mes petites chaussures. Mes chères petites chaussures. Elles sont belles, elles sont miennes! Lalalalala mes petites chaussures!"

(EDIT : oui...je me suis trompée de compte)

Moi aussi je le découvre que maintenant

Ishak Zéphyr Aït-Malek : Après avoir embrassé ses soeurs et sa mère, il les quitte, transplane une fois dans l'ascenseur, jusqu'au chaudron baveur. Là, il se pose au fond de l'auberge, une plume à la main, qu'il finit par remplacer par un pauvre stylo bic. Il a pris une feuille chez sa mère, et écrit (d'abord à la plume, donc), réécrit en aspirant l'encre avec sa baguette parce que ça ne lui convient pas, et puis réécrit à nouveau (au bic). Les seuls mots qu'il a réussi à garder : "Chère Sasha".

Adonis Leroy : Il est dans son lit, et relit pour la n-ième fois Bel Ami, dans sa langue natale, évidemment. Mais il finit par le lâcher, presque lassé de feuilleter ses pages une nouvelles fois, alors qu'il avait adoré le faire les 100 fois d'avant. Autour de son lit, d'autre bouquins sont étalés. En haut de la pile "poésie", il y a Les Fleurs du Mal, exemplaire que sa mère lui a offert. Il l'attrapa du bout des doigts, au milieu de sa nuit d'insomnie, et lit toute la section pour les poèmes parisiens. Sa ville lui manquait. Et puis, il eut finit. Et si autrefois, lire les poèmes interdits était une grande distraction, ça ne l'était pas, pas cette nuit. Tout en bas d'une autre pile, il aperçoit un bouquin qu'il n'a même pas entamé, malgré son goût pour la lecture, parce que trop gnan-gnan : Le premier Tome de Autant en Emporte le Vent, en anglais obiviously. Il l'attrape, plonge dedans, et n'en sort pas avant de l'avoir fini.

Pauvre Pen' qui a dû croire que son sujet était snobé... ^^

Rabastan Lestrange est en train de lire un livre d'Histoire de la Magie dans la salle commune et lève les yeux en entendant l'exclamation "Qu'est-ce que... ?!" d'un autre élève. Lequel tient un soutien-gorge sexy qu'il vient visiblement de retrouver de sous les coussins d'un canapé. Rabastan : "Ah.. Alors il était là..", tend la main vers l'autre élève : "Donne. Je vais le lui rendre." L'autre élève lui donne le soutien-gorge avec un drôle d'air.
Rabastan se replonge dans sa lecture, relève les yeux pour voir l'autre élève jeter des regards presque méfiants au canapé sur lequel il n'est plus assis, les joues un peu rouges.
Rabastan reprend définitivement sa lecture.

Gaël A. O. Dunkan se demande où se trouve son soutien-gorge !

Rabastan Lestrange répond à une 3e année qui cherche son rat qu'il ne l'a pas vu et n'a pas la moindre idée d'où l'animal peut être, qu'en ce qui le concerne ce n'est pas son problème si elle ne l'a pas laissé dans la cage d'où il n'aurait jamais dû sortir et que si vraiment elle aime autant les rats, elle n'a qu'à aller s'occuper d'un Poufsouffle de première année parce que ceux-là disparaissent moins facilement.
Rabastan Lestrange pense que si quelqu'un fait les analyses des cendres de la cheminée de Serpentard un jour il trouvera des résultats intéressants.

I. Zéphyr Aït-Malek a envie de tuer Adonis-le-français et Sean McMachin. Ils tournent autour de Sasha. Et Sasha, c'est SA nana. D'ailleurs, le Adonis fait pas que tourner, il rentre. Et le Sean fait son romantique à deux balles, il veut la changer. Comprenez, les mecs. L'Homme de sa vie, à Sasha, c'est Zéphyr. Point Final.

Rabastan Lestrange ne sait pas ce qu'il a pu faire de si grave pour avoir été obligé de se retrouver en binôme avec Gilderoy Lockhart en cours de botanique. Lockhart qui ne sait manifestement pas dans quel sens on tient une baguette. Lockhart qui se sent obligé d'inventer une excuse bidon chaque fois qu'il rate son sortilège. Toutes les deux secondes. Lockhart dont il faut se méfier de la baguette autant que des branches de cette foutue plante. Lockhart à cause de qui ils sont recouverts de terre, de pollens pelucheux et de sève épaisse. Lockhart qui n'arrête jamais de parler. Lockhart qu'il ne peut même pas frapper à cause de toutes les groupies qui n'arrêtent pas de regarder dans l'espoir d'un sourire éblouissant de la part du blondinet. Et la sale plante dont on ne peut même pas s'occuper tout seul.
Lestrange se sent – exceptionnellement – dépressif.

Ouf, mon sujet a pas été snobé

Georgia E. Prince fume une cigarette, accoudée à une fenêtre ouverte en haut de la Tour d'Astronomie. La fumée se perd en légers volutes qui s'élèvent dans l'air frais de la nuit, mêlés à la vapeur provoqué par le souffle de la Gryffondor. Perdue dans ses pensées, elle n'entend pas les bruits caractéristiques de quelqu'un qui s'approche : la porte qui s'ouvre, le plancher qui grince... Ce n'est que lorsqu'elle entend « Georgia ? » qu’elle tourne brusquement la tête, manquant de se brûler les doigts avec sa cigarette, qu'elle a tenté d'écraser pour la cacher, ne voulant pas être surprise par un professeur et écoper ainsi de deux heures de colles supplémentaires aux dix qu'elle doit déjà effectuer cette semaine. La blonde lâche un juron, avant de crier sur Pénélope : « Tu m'as foutu une de ces frousses ! Qu'est-ce que tu fous là ? »

Pénélope D. Gallianis s'approche doucement de Georgia, légèrement appréhensive. Elle tient dans sa main une lettre, lue et relue des milliers de fois déjà, alors qu'elle l'a reçue seulement le soir même. Andrew est vraiment adorable... La jeune fille rougit en pensant aux compliments manuscrits, touchée par l'affection que le jeune homme lui porte. Elle vient rejoindre Georgia à la fenêtre, et dit simplement d'une petite voix, les joues rouges, sans oser la regarder -Georgia fait partie de ces personnes qui la mettent plus mal à l'aise que n'importe qui d'autre- : « Pardon, je... Je ne vou... Voulais pas t'effrayer. Je... Je n'arrivais pas à dormir... Toi non plus ? » Ce disant elle caresse du bout des doigts la lettre, repensant à son contenu, et rougissant de plus belle.