Histoire
(20 lignes)Alissya est une jeune fille de 16 ans, qui est née le 16 avril 1960 à Paris. Elle est la fille de César et Alexandra Martiñez. César est un né-moldu mais il fait partie d’une grande famille d’Aristocrate français. Tandis que sa mère est une sorcière née dans la haute bourgeoisie. Pour Alissya, ses origines n’ont jamais eu une réelle importance. Avant d’arriver à Beauxbâton, elle ne connaissait même pas l’existence des différents sangs. Et lorsqu’elle en prit connaissance, elle alla se renseigner auprès de sa mère qui la rassura en lui disant que cela n’avait aucune importance et que ça ne l’empêcherai pas de rentrer dans la prestigieuse école de sorcellerie de France.
Alissya est fille unique, ses parents n’ont jamais souhaité lui donné de frère et sœur car il préférait qu’elle puisse avoir tout ce dont elle désirait. Ils ont tous fait pour la rendre heureuse, et elle en contrepartie, ne leur ramena jamais aucun ennui. Elle était sérieuse et adorait les études, c’était même sa motivation première, car elle rêvait de devenir une jeune fille cultivée et de travailler dans le domaine de la politique ou des finances. Combien de fois, elle avait-vu son père s’occuper des finances de la maison ? Il lui avait enseigné tous ce qu’il savait, mais juger qu’elle devrait également apprendre à gérer ses capacités magique.
Depuis toute petite, elle avait su élever le chat de ses parents sur le lustre et parfois celui-ci s’en plaignait en allant ronchonner sur les genoux de la mère d’Alissya. Alissya en riait à chaque fois, mais sa mère lui expliquait toujours, qu’une fois qu’elle serait à l’école de sorcellerie, on lui apprendrait à ne plus faire voler les chats sur les lustres. Sa mère lui avait souvent parlé de cette école, mais elle ne se rendit compte de sa beauté que lorsqu’elle y entra la première fois accompagné de Fire et Buld’Au
Elle avait 11 ans, et fut subjuguer par la beauté de l’école. Le voyage avait été long de Paris à Nice, mais sa mère l’avait accompagné et l’avait déposé à la gare pour aller à l’école. Elle s’était retrouvé toutes seules. Elle ne connaissait personne mais se sentait rassurer de la présence de Fire. Fire était son chat, écaille de tortue. Lorsqu’elle est arrivée à Beauxbâton, Fire était âgé de trois mois, c’était un mignon petit chaton, qui était terrifié à la vue de cette école gigantesque. Elle l’avait alors pris dans ses bras pour le rassurer et l’avais emmené avec elle. À partir de ce moment-là, il ne s’était plus jamais quitté. Fire avait appris à rester coucher sagement dans le dortoir en attendant Alissya. Elle revenait ensuite à la fin des cours pour aller se promener. On ne les voyait jamais l’un sans l’autre, ce qui en faisait rire plus d’un à chaque fois qu’il les croisait.
Sa première année, s’était passé relativement bien, elle avait beaucoup aimé le cours de Défense Contre les Forces du Mal et la Métamorphose. Cependant, elle avait eu du mal à s’intégrer à cette école qui lui semblait tellement différente de ce qu’elle avait connu auparavant. Et le pire dans tout ça c’est qu’elle s’était sentie terriblement seule. Ses parents lui manquaient terriblement, et elle avait été régulièrement insultée de traitre à son sang. Au début, elle n’avait pas compris ce que cela signifiait et un jour lorsqu’elle était retournée à Paris voir ses parents, elle s’était longuement entretenue là-dessus avec sa mère. Elle lui avait expliqué que dans le monde de la sorcellerie, avoir un parent moldu, qui n’avait aucun pouvoir magique était un crime, mais qu’en aucun cas elle ne devait avoir honte de ses origines que ce n’était un crime que pour les sorciers qui se prenait pour des Sangs-Purs alors que tous les sorciers aujourd’hui avaient du sang moldu dans les veines. À son retour à Beauxbâton, elle avait pu contrer les insultes de ses camarades, en ignorant totalement leur dire. La fin de l’année était arrivée très vite, et elle avait réussi haut la main ses examens. Elle savait que son père serait fier d’elle et c’était tout ce qui lui importait, même si il ne connaissait pas grand-chose aux matières qu’on lui enseignait, tant qu’elle lui ramenait des bonnes notes, il était heureux.
Sa deuxième année, n’avait pas été plus mouvementé que la première, elle avait acquis de nouvelle connaissance et passer le clair de son temps libre à la bibliothèque avec Fire. Elle aimait beaucoup cet endroit, où elle apprenait plein de chose. Elle avait découvert des tas de choses sur le monde de la sorcellerie et espérait avoir terminé de lire tous les livres de la bibliothèque avant son départ de Beauxbâton, même si cela était vraisemblablement impossible. De temps en temps, elle quittait la bibliothèque avec Fire pour aller voir Siegfried, son hibou grand-duc et lui donner la lettre qu’il devait porter à ses parents. Elle n’écrivait pas régulièrement, une fois par mois tout au plus. Elle pensait qu’elle aurait plus de chose à leur raconter comme ça.
Sa troisième et quatrième année n’eurent rien de bien exceptionnel, comme toujours, elle avait réussi ses examens pour passer dans l’année supérieure. Elle rentrait en cinquième année et c’était l’année la plus décisive pour elle. C’était l’année des B.U.S.E. et elle ne devait pas échouer à ces examens-ci.
Elle était rentrée à Paris pour l’été. Elle aimait beaucoup rentrer à la Capitale, elle s’y sentait tellement bien. À Paris comme à Nice, Fire la suivait partout. Il était fou de sa maîtresse et ne voulait la lâcher sous aucun prétexte. Elle avait pris l’habitude d’aller se promener sur les bords de la Seine ou encore sur l’Avenue des Champs Élysées. Elle aimait beaucoup ses endroits qui la faisaient rêver. Elle aurait tant aimé pouvoir monter sur l’une des péniches qui surplombe la Seine… Mais toute seule, cela n’avait aucun intérêt.
Un jour pendant l’été, Alissya était descendu en Centre-Ville pour aller se trouver une robe pour la soirée qu’organisait son père. César lui avait expliqué que c’était une soirée très importante et qu’elle devait être la jeune fille la plus jolie. Elle avait donc décidé de profiter de ses promenades quotidiennes pour se trouver une robe magnifique. Elle visita divers magasins avant de trouver la robe de ses rêves. Elle était longue et bleu nacré avec un faux saphir sur chaque bretelle. Lorsqu’elle l’essaya, elle se trouva splendide à l’intérieur et n’hésita pas. Elle trouva les chaussures qui allait avec ainsi qu’une paire de gant blanc. Elle emporta ses achats chez ses parents et demanda à sa mère son avis. Alexandra, fut subjuguée par la beauté de sa fille et ne put s’empêcher d’appeler César pour qu’il constate par lui-même à quel point sa fille était exquise. Il ne fut pas déçu de la robe qu’avait choisi sa fille et fut obligé d’admettre que comme il l’avait désiré, elle serait la plus belle ce soir-là.
La soirée commença vers dix-neuf heures, les invités de son père arrivèrent et Alexandra les accueilli noblement. Alissya, finissait de se préparer à l’étage, elle n’avait aucune idée de l’identité des invité de César, la seule chose qu’elle savait c’est que ça concernait leur travail.
Lorsqu’elle descendit enfin, son père la présenta à ses invités. C’était M. et Mme Benicourt, accompagné de leur fils. À cet instant, elle fut surprise de voir qui était leur fils. Elle avait eu l’occasion de le croiser dans les couloirs de l’école, mais ne le connaissait absolument pas. Elle se présenta et quitta son père pour aller rejoindre sa mère et lui donner un coup de main. Tout en aidant sa mère, elle se remit en mémoire le regard du jeune homme. Il était d’une rare beauté et ses yeux sombres le rendaient très mystérieux. Elle se demanda ce que penserait son père, si elle faisait la connaissance de ce jeune homme. La soirée se passa calmement. Au bout d’un moment, son père les invita à danser dans le grand salon. César invita Alexandra à danser et fut rapidement suivi par M. et Mme Benicourt. Alissya resta assise avec le jeune inconnu, qui ne s’était pas encore présenté. Elle se sentit soudain gêné. Elle avait l’impression de sentir son regard sur elle et fut même surprise lorsqu’il l’invita à danser. Elle accepta tout de suite. Ils dansèrent avec leurs parents. Alissya fut surprise de la douceur des bras du jeune homme. Elle le questionna légèrement pendant qu’il dansait et elle fut surprise lorsqu’il lui donna son prénom. Maverick. Elle avait déjà entendu ce prénom à Beauxbâton, mais où et quand, impossible de se rappeler. Elle s’arrêta soudain de réfléchir et profita de l’instant présent. Elle était aux anges, elle avait l’impression de connaître ce jeune homme depuis toujours. Elle ne vit pas les heures passés et n’avait aucune envie que cet instant s’arrête. Lorsque M. et Mme Benicourt décidèrent de s’en aller, elle eut le regret de le voir s’en allait. Elle n’avait aucune envie de le laisser partir et préféra des adieux brefs. Elle savait très bien qu’une fois retourné à l’école, les choses reviendraient à la normale, et qu’elle n’existerait plus pour ce jeune homme. Comme si cet instant n’avait jamais existé. Une fois, les invités parti, elle alla se déshabiller dans sa chambre, elle avait hâte de fermer les yeux pour pouvoir rêver de nouveau à Maverick.
Le lendemain, elle décida d’aller se promener, la nuit avait été courte, mais la soirée de la veille l’avait marqué. Elle se posait des milliers de questions et Fire se douta très vite que sa Maîtresse avait quelques choses d’étrange lorsqu’elle ne remarqua pas qu’il s’approchait trop du quai. Elle croisa Maverick se promenant lui aussi, et l'invita à se joindre à elle. Elle lui fit découvrir le Champs de Mars ; les Champs Élysées et d'autres endroits qu'elle adorait à Paris. Il passèrent de très bon moment, et Alissya était ravie à chaque fois qu'elle le retrouvait. Il était d'une intelligence remarquable et elle adorait discuter avec lui. Ils avaient des tonnes de choses à se dire à chaque fois.
C'est vers la fin de l'été que leur histoire débuta, comme à leur habitude, ils se retrouvèrent pour leur longue balade dans Paris, lorsqu'elle se termina sur la Place de la Concorde. Alissya avait le vertige et lorsqu'elle lut dans les yeux de Maverick, le désir de monter dans la grande roue, elle prit sur elle et l'accompagna. Chose qu'elle ne regretta pas. Juste avant d'être obligé de redescendre, Maverick se pencha vers elle et l'embrassa. Elle eut du mal à quitter les bras du jeune homme tellement elle était bien. En deux mois, elle avait appris à le connaître et elle espérait que ce ne sera pas qu'un amour de vacances. Malheureusement, elle n'eut pas le temps de lui poser la question puisqu'il devait repartir sur Bayonne au grand regrets d'Alissya. Heureusement, dans quelques jours, elle le retrouverait à Beauxbâton, tout du moins c'était ce qu'elle espérait.
Arrivée le mois de Septembre, Alissya se prépara pour sa reprise et avait hâte d'arriver à Nice contrairement aux années précédentes. Mais elle savait parfaitement que celle ci n'aurait rien avoir avec les autres. Que cette année, elle ne se retrouverait pas toute seule et qu'elle aurait enfin une épaule sur qui se posait. Cependant, elle ne pensait pas que l'année se déroulerait comme ça. Durant le début de l'année, Maverick ne lui parla même pas. Elle se demanda si ce qui s'était passé cet été, avait compté pour lui, sans même savoir ce qu'il lui était arrivé. Si elle avait su, elle aurait pu l'épauler et l'aidé à remonter sa douleur, mais celui-ci préféra l'éviter le temps de se remettre. Ils se retrouvèrent lors d'un bal masqué organisé par l'école, Alissya fut aux anges de retrouver son cavalier qui lui avait tant manqué.Ils finirent la soirée sur la plage, où ils en profitèrent pour se retrouver et retrouver la complicité qu'ils avaient eu durant l'été. À la suite de ses retrouvailles, tout se déroula pour le mieux, Maverick lui procurait un bonheur absolument ultime, elle n'avait jamais connu ça et la vie à ses côtés lui sembla tellement simple. Elle espérait qu'il l'accompagnerait à Poudlard, et ce fut au mois de juin, qu'elle apprit qu'il serait avec elle pour cette longue année... Mais allait-il se retrouver dans la même maison et ne plus être séparé ? Tel était la question...