Jézabel est belle, à part lorsqu'elle s'énerver, là à ce moment là elle est immonde et on a juste envie de l’assommer pour ne plus voir sa tête de dégénéré. Mais sinon la demoiselle à de la classe, dans ses paroles et dans ses gestes. Elle est une quart de vélane et a donc un physique hors du commun, qui vous rend complètement fou. Elle a de longs cheveux blonds qui lui tombe en cascade jusqu'à mi-dos. Ils sont naturels et donc elle ne se les colore pas, je ne suis même pas sûre qu'elle sache ce que c'est. Ses yeux verts-bleus pétillants à la lumière et peuvent devenir très sombres lorsqu'elle vous fusille du regard. Un peu comme une vipère, en fait ça en est un peu une... Elle est plutôt élancée dans ses mouvements, c'est sûrement dût au fait qu'elle est sûre d'elle et n'a pas peur de se montrer. Elle a souvent les lèvres rouges, elle ne se maquille pas, mais c'est naturel, en quelque sorte on dirait une poupée fragile, qui ne l'est pas... Elle s'habille souvent à la mode, elle aime les habits moldus, même si elle les méprise un peu, Jézabel porte toujours des robes colorées, des ballerines et se pavanne toujours avec classe. Grâce à son don elle est sans défauts, à part quand elle s'énerve, mais elle évite de le faire, elle préfère régler ses différents avec calme et hypocrisie..

She's a bitch...

C'est faux, enfin pas vraiment juste, enfin pas vraiment le mot qu'il faudrait utiliser. Elle a beaucoup de qualités, mais de nombreux défauts, et les défauts ont tendance à l'emporter. Jézabel a une tendance plutôt malsaine de toujours tout vouloir contrôler. Elle ne supporte pas d'être dépassée par les évènements, c'est bine pour ça qu'elle s'assure toujours d'être la princesse. Manipulant ses pions à la perfection, elle n'hésitera pas à mentir ou être hypocrite pour venir à ses fins, après tout, tout ce qui l'intéresse c'est sa propre personne et qu'elle ne soit pas dans des problèmes. Vaut mieux que ce soit les autres qu'elle non ? Elle a une fâcheuse tendance à se dépatouiller pour se mettre dans les problèmes, mais heureusement qu'elle est maligne et rusée, pour savoir qu'il faut toujours un plan B. Jézabel est ambitieuse, tellement qu'elle n'hésitera pas à déstabiliser, pulvériser, détruire ses adversaires, elle ne supporte pas qu'on lui vole la vedette et aime être l'objet de tout les regards. La blondinette peut se montrer très capricieuse et de son côté menteuse et manipulatrice, elle arrive a beaucoup de chose. De plus elle a son côté vélane, qui l'a rend encore plus sûre d'elle. Le seul problème ? Elle en devient tyrannique des fois... Jézabel est une coureuse de pantalon, elle aime les belles choses et aime les avoirs rien que pour elle. Souvent son jeu préférer et d'être du genre : je veux, je prends, j'ai, je jette... Pour quelques garçons ça la rends désirable..
Les côtés positif, car oui il y en a , se font plus rare, mais sont bien présent. Jézabel n'est pas loyale et a toujours une petite pointe de sadisme en elle, mais elle reste protectrice envers ceux qu'elle aime, aussi rare soient-ils. Elle ne supporterait pas de perdre ses amis, et fera donc tout pour les soutenir ! Elle est ambitieuse et connait ses buts, elle peut en devenir un peu peste, mais elle, elle sait que ça la mènera quelque part un jour. La blondinette ne se laisse pas faire et donc atteint ses rêves... Elle reste douce, quelques fois bien sur et reste de marbre lorsque quelque chose de grave arrive. Elle garde son calme et sa froideur. Ça peut être utile des fois... (15 lignes minimum)

Jézabel... Elle est née dans un petit hôpital à Bordeaux, elle n'avait qu'une semaine de retard et pourtant sa mère était stressée. Stressée, car elle serait sa seule fille, son enfant unique, la chose qu’elle chérirait le plus au monde, un peu comme une princesse. Olympa tenait la main de son mari, elle pleurait de joie ou de douleur ? Son mari ne savait pas et ne le saura jamais. Elle est morte sur la table d'accouchement, elle était belle avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus, bleus d'admiration et d'amour. Mais Jézabel et elle avait fait un combat dur, dur pour réussir à survivre, et qu'une seule en était ressortie indemne. Charles, le père, soufra pendant longtemps ne sachant pas si il allait s'en remettre, c'était sa femme et en quelque sorte il en avait bavé, bavé parce que Olympe voulait absolument un enfant, lui non... Maintenant il se retrouvait avec un petit monstre dans les bras, qui pleurait tout le temps et avec un cœur brisé. Au début il détesta Jézabel, la nourrissant à contre cœur, la méprisant avec ses regards furibonds et ne la câlinant presque jamais, la blondinette en a conclut qu'elle est son père n'aurait jamais un lien fille-père normal. Jusqu'à ses cinq ans elle a habitée dans une appartement dans le centre de Bordeaux, elle n'a jamais vraiment su ce que faisait son père, tard le soir dans la chambre, elle entendait des sanglots quelques fois, mais elle était trop petite pour comprendre ce que c'était réellement. Jézabel savait que son père était triste et qu'en lui il ne serait jamais le même, mais elle souhaitait tellement pouvoir jouer à cache-cache avec lui dans l'immeuble, de pouvoir rigoler et aller au parc avec lui. Mais lui apparemment n'en a jamais montré l'envie et l'ignorait la plupart du temps. Il lui manquait un mère, une mère qui lui coifferait les cheveux, qui jouerait avec elle, qui lui achèterait des robes, mais à l'inverse, elle, Jézabel, elle avait droit à une nounou, cette femme était juste ignoble, toujours en train de crier, de faire la tête et d'écouter de la musique à fond dans l'appartement. Chose que Jézabel n'eut jamais assimilée, et ayant déjà un caractère bien trempé, elle ne se gênait pas pour cracher des morts blessants à sa gardienne. Jusqu'au jour où Jézabel dût aller à Paris, pour raison indéterminée, son père lui rappelait souvent que c'était pour changer d'air et oublier Olympe qu'il avait tant aimé. Jusqu'à ce qu'elle aille à Beauxbatons elle vécut dans la capitale française...

Ses années scolaires se sont passées en toute tranquillité, jusqu'à ses cinq ans elle fût scolarisée à la maternelle, une qui était dans les banlieue chic de Bordeaux. Là-bas Jézabel avait la réputation d'être la petit fille la plus capricieuse et menteuse qu'il connaissait. C'était en quelque sorte une étiquette donné dès son plu jeune âge, qu'elle gardera sûrement toute sa vie. La blondinette ne s'est jamais vraiment bien senti avec les moldus, les trouvant pas vraiment drôle et ni intelligent, ils savaient juste faire un chose : les habits, donc la mode. Mais à part ça ils n'avaient pas grand intérêt. Elle savait que la tolérance n'était pas sont truc, mais après tout elle n'était pas une peste pour rien. A ses six ans, lorsqu'elle déménagea, cela fût un choc puisque Paris était une plus grande ville et donc plus de moldus. Elle fût envoyée dans une école primaire huppée et n'y apprit pas grand chose, car elle s'amusait à être insolente avec son professeur. Elle apprit la musique là-bas, la danse et les manières. Mais jézabel s'en fichait un peu, à l'époque tout ce qu'elle voulait c'est embrasser son petit amoureux et rigoler avec ses copines. La blondinette n'avait pas de mauvaises notes, mais n'était pas la meilleure au grand désespoir de son père, qui voulait au moins qu'elle réussise. Il ne pouvait pas lui offrir son amour, mais son ambition oui... Lorsqu'enfin elle finit la primaire, car elle allait la quittait pour Beauxbâtons, depuis qu'elle avait eut six ans beaucoup de choses avaient changées. Elle travaillait d'arrache-pied depuis qu'elle avait passée l'âge de neuf ans, en quelque sorte elle avait eut un déclique. Ses amies avaient toujours de meilleures notes qu'elle avant, puis un jour Jézabel ne put le supporter et se mit donc à apprendre ses leçons, choses qui l'a motiva et qui lui donna envie de continuer jusqu'à même devoir pulvériser quelques adversaires, mais à l'époque ses veines intentions pour déstabiliser son adversaire n'était que innofensive par apport à maintenant. La Française dût donc apsser sa scolarité parmi les moldus, cela ne lui plaisait pas vraiment, mais elle attendait patiemment son entrée à Beauxbâtons qui se fit l'année d'après.

Elle découvrit ses pouvoirs à l'âge de sept ans. Cette année là rien n'allait vraiment. Son père n'était presque jamais là et il avait décidé d'engager une nounou encore plus déplaisante que l'ancienne. Toujours en train de macher son chewing gum avec son petit regard hautain, Jézabel ne supportait pas, la seule qui avait le droit la regarder de haut c'était elle-même et pas cet espèce de sang-mêlé. La petite blondinette était pourtant un petit ange avec, son petit côté hypocrite devait être entrainer pour avoir l'air plausible et donc sa gardienne était la parfaite victime pour ça … Bizarrement ça l'amusait de jouer une autre personne, c'était une bonne actrice et peut-être qu'elle pourrait faire ça plus tard. La jeune fille découvrit donc ses pouvoirs à l'âge de sept ans, revenons à nos moutons. Ce jour-là il pleuvait des cordes et pourtant les deux jeunes filles devaient alelr faire les courses, car le père de Jézabel revenait tard le soir et il aimait bien manger en revenant de voyage d'affaires, comme il l'appelait. La petite blondinette s'amusait à compter les gouttes qui glissaient le long de la vitre et pensait à sa mère. Que serait-elle ent rain de faire si elle vivait encore ? Que lui dirait-elle ? Serait-elle ent rain de rigoler ensemble comme une mère et une fille. Quelqeus fois ça lui faisait de la peine d'y penser, mais d'autres fois ça l'encourageait, elel voulait faire plaisir à sa maman qui la regardait du ciel en haut et donc d'y penser, la consciliait dans m'idée que peut-être un jour elle reviendrait et qu'elle la féliciterai pour ses notes et son courage. Mais Jézabel se rendit compte que plus tard, que cela serait juste impossible. Mais peut-être que si sa mère vivait encore, son père ne la détesterait pas autant ?! Trop de questions, mais aucune réponse. Blanche comme un linge et la mine triste, Jézabel répondit à l'appel de sa nounou et se leva. D'un pas nonchalant elle prit son manteau et ses bottes de pluie. Elle en avait marre, amrre de cette situation qui ne lui plaisait pas. La blondinette regarda sa gardienne avec une certaine haine puis s'assit par terre et ne mit pas ses bottes. Sa nounou commença à l'engueuler, puis Jézabel explosa. Elle cria tellement fort que les murs pouvaient en trembler. Puis elle leva les deux bras, et là soudain, tout les tiroirs de la maison s'ouvrir et vinrent s'exploser contre le mur. La jeune fille peureuse et complètement frustrée s'assit par terre et pleura la tête dans le genoux. D'un côté elle était contente d'avoir découvert ses pouvoirs, mais d'un autre sa mère lui manquait tellement, elle n'avait même pas pût voir cet événement si important dans la vie d'un enfant …

Ses années à Beauxbâtons furent intéressantes... A onze ans lorsque pour la première fois elle entra dans le château elle vue les yeux de son père briller, peut-être que cela lui rappelait ses années ici, avec sa mère.. Jézabel avait hâte de changer de vue, d'amis et surtout d'apprendre la magie. Lorsqu'elle avait achetée sa baguette, la rentrée lui avait apparut comme excitante et juste magnifique. Sa première année tout comme sa deuxième n'avait pas été incroyable, mais c'était plutôt bien, agréable. C'était immense et magnifique, il y avait des fleurs de partout et les gens avaient cette mine réjouit. La blondinette n'eut pas du mal à se faire des amies et à régler les comtes aux autres. Son groupe savait que c'était elle la commandante et ils savaient qu'elle ne tolèrerait pas qu'on lui enlève ce titre, il ne l'avait pas encore vu à l’œuvre, mais ils la craignaient un peu... Elle a eut son premier amoureux à l'âge de douze ans, à la fin de sa secondes année. C'était un garçon qui avait deux ans de plus qu'elle, elle n'avait encore jamais utilisée ses charmes vélanes à ses fins, mais là c'était nécessaire. Nécessaire, car il s’intéressait à elle, mais l'a trouvait beaucoup trop jeune , ce qui énerva très vite Jézabel qui veut toujours avoir ce qui devrait lui appartenir. C'est à ce moment là qu'elle s'est rendue compte que la vie devenait beaucoup plus facile lorsqu'on est une vélane, du moins aux yeux des garçons. Sa troisième et quatrième année se passèrent sans embouchures, la vie prenait son cours comme ile l fallait. La blondinette jouait à la garce rusée et son petit groupe la respectait pour ça. Pour les vacances elle ne rentrait que très rarement à la maison, c'est pour ça qu'elle restait longtemps au château à découvrir de nouvelles personnes. La jeune fille rencontra un certain blondinet au cours de sa cinquième année, en quelque sorte elle fût troublée. Il était blond et avait un peu le même caractère qu'elle, donc il ne se pliait pas à ce qu'elle voulait, la laissant la comme une pauvre âme capricieuse. Il s'appelait Alexis, non pas qu'elle était amoureuse, mais plus attirée qu'elle ne le voulut. Mais ce n'est pas pour autant qu'elle fût apaisé, au contraire ça la rendit encore plus démoniaque et sans pitié.
L'Angleterre paraissait fade par apport à la France, mais n'ayant pas vraiment le choix, car son père l'en a forcé, puisque étant un papa plutôt ambitieux et voulant montrer à ses collègues que sa jeune fille avait vue beaucoup du monde, il décida de l'envoyer en Angleterre pour qu'elle puisse perfectionner son Anglais et pour qu'elle puisse avoir à faire à des personnes de plusieurs nationalités différentes. Ou peut-être juste pour s'en débarrasser... Elle n'avait donc pas put refusé. Lorsqu'elle était arrivée, le sol Anglais venait de prendre une soudaine rafale de pluie, et Jézabel déteste la pluie ! La jeune femme trouve que les Durmstrang sont des pauvres bêtes Bulgare tous plus stupide que les autres, et ceux qui viennent de Poudlard devraient apprendre à savoir qui commande ici... Jézabel n'est donc pas vraiment ravie de savoir qu'elle a dût quitter sa France chéri, pour un pays où il pleut tout le temps...