Feuille de personnage ϟ Âge: 17 ans ϟ Maison/Profession: Durmstrang ; Slytherin. ϟ Relations:
Sujet: Azrael's Diary Mar 6 Mar - 12:27
Il s'approche d'un des lits dans le dortoir plongé dans le noir, jette un regard qui semble suspicieux autour de lui, vérifie qu'il est seul. Il s'agenouille près du lit, murmure ce qui pourrait être des incantations dans une langue étrangère tout en bougeant sa baguette selon un motif bien défini. Enfin, il soulève légèrement le matelas et se relève vivement. Dans sa main gauche, un carnet à la couverture couleur nuit, les trois initiales « A.S.F. » gravées en lettres d'argents à l'arrière, dans le coin du bas, à gauche. Il en effleure doucement la couverture lisse du bout de sa baguette, avant de l'ouvrir. Seules les premières pages sont recouvertes d'une fine écriture élégante, légèrement italique. Certains paragraphes sont écrits en anglais simples, d'autres sont en russe, mélangeant les deux alphabets, signes et lettres.
Que celui ou celle qui ouvre ceci soit prévenu. Lisez autant que vous le voudrez, mais attendez vous au pires des conséquences. Les secrets ont cela de mystique qu'ils ont le devoir de le rester, et les pensées de ne devoir appartenir qu'à soi-même.
24 Mars 1975 ~
Un carnet... Matthew n'a apparemment rien trouvé de mieux que de m'offrir qu'un simple et vulgaire carnet pour mon anniversaire. Entre autre, certes, mais à quoi pense-t-il que cela puisse me servir? C'est le genre de chose inutile dont je ne me servirai sans-doute jamais. Enfin, lui à jugé utile de me dire avec son air d'idiot : "Tu verra, ça te servira à vider tout ce qui se passe dans ta p'tite tête, pour quand je ne serai plus à Durmstrang pour écouter toutes tes brillantes idées. Et même les pas btillantes d'ailleurs.." Ou quelque chose comme ça. Comme si j'avais des idées qui ne soient pas brillantes! Il oublie qui est le géni, entre nous deux! Bon, tout cela me mène à me demander pourquoi est-ce que j'ai seulement commencé à écrire là-dedans? L'ennui certainement. Et puis peut être pour ne pas que mon chère frère ne se mette encore à râler. Au revoir, objet inerte. Même si je n'écrirai certainement jamais plus sur tes pages.