Physique (10 lignes) Une taille de guêpe, un chapeau de sorcière pointu surmontant un teint pâle et marqué de quelques rides et vous obtenez l'ébauche de ce que l'on perçoit généralement du Professeur Minerva McGonagall. Mais regardons plus en détails son visage. On remarque qu'elle possède des yeux d'un bleu perçant qui donne cette fameuse impression de scanner qui voit en vous comme dans de l'eau clair. En entretenant son image de femme dure pour asseoir son autorité, Minerva possède des lunettes en demi-lunes lui procurant une assurance presque sans pareille. Vêtue d'une robe de sorcière vert émeraude lui donnant un côté mystique, Minerva sait jouer des couleurs pour se mettre en retrait. Coiffée d'un chignon presque parfait, sa tenue de soirée n'est pas ce que l'on pourrait dire "tendance". Mais fi de la mode de 1976, ce qui fait de Minerva une femme à part, c'est sa faculté à se transformer en Animagus. Lorsqu'elle prend la forme d'un chat, on peut dès lors remarquer que le contour de ses yeux prend la forme de ses lunettes ensuite on peut observer des rayures noires se dessiner tout le long de son corps félin.

Mental (10 lignes)

Aride, austère, autoritaire, dépouillée, draconienne, drastique, dure, ferme, grave, impitoyable, intransigeante, puritaine, raide, rigide, rigoureuse, rude, sèche, sourcilleuse, spartiate, stricte. Oui vous l'entendez bien, Minerva réuni peut être toute la dureté de la vie de sorcier en elle-même. Mais si tout ces défauts sont autant de qualité pour un personnage aussi dur, le Professeur peut se montrer aussi attachante, aimante et fière du travail qu'elle accomplit au jour le jour. Nombreux sont les élèves de Gryffondor qui maudissent le jour où elle leur a tout simplement enlevé 50 points pour indiscipline ce qui leur avait alors coûté la coup des quatre maisons au profit de Serpentard. Mais si ses relations sont parfois difficiles avec certains élèves, Minerva McGonagall est très certainement l'une des femmes les plus compétentes et intelligentes du monde magique. Fière de ses capacités, de nombreuses qualités tels que le courage ou son sens de la justice partout, tout le temps font d'elle une personne à même d'être une Gryffondor pur souche d'autant que l'amour qu'elle porte à sa profession et plus encore son amour de l'école de magie Poudlard prouve que malgré se dureté apparente, Minerva McGonagall est l'une des personnes les plus aimantes que l'on puisse connaître, prouvé par ses excellentes relations amicales avec Albus Dumbledore, Filius Flitwick ou même certains de ses élèves.

Histoire (20 lignes)
Oui, ces mots raisonnent en moi comme à l'aube de mon temps, une époque où la magie n'effleurait que peu ma tendre et joyeuse enfance. Accompagnée de mes frères, nous passions des journées à écouter mon père moldu de son état nous compter les belles histoires des highlands écossais. Banquier de métier il était mon exemple dans la vie, chaleureux et doux comme la laine des moutons de notre cottage typique du Nothern Kingdom. Une enfance loin des problèmes de l'époque. Ma mère, une sorcière était elle tout le contraire de mon père, froide, distante, c'était elle pourtant qui qui incarnait l'autorité morale de la maison. Si dans ce havre de paix, les problèmes étaient comme dans tout les ménages présents, mes onze premières années furent des années pleines de paresse et de curiosité, découvrant peu à peu les pouvoirs de sorcellerie inhérent à chaque membres de ma famille excepté mon père.

À mes onzes années, j'avais enfin l'âge requis pour entrer dans l'école de sorcellerie Poudlard. Un rêve pour une enfant qui avait vue ses deux frères partir avant elle vers ce qui sera mon unique maison des années plus tard. Suivant donc de près mes études me destinant à une grande carrière d'Aurore, j'essaya donc du mieux que j'ai pu de suivre un parcours impeccable dans la meilleure école de sorcellerie au monde. Le chapeau hésitant à m'emmener soit vers Gryffondor, soit vers Serdaigle, c'est en voyant la stature impressionnante du directeur de Gryffondor que je décidais à mon tour, après mes frères d'entrer chez les Gryffondor. Mon professeur de métamorphose d'alors, n'était autre que le humble Professeur Albus Dumbledore, qui me permit, moi l'une de ses élèves de devenir un Animagus, et d'enfin accomplir l'un de mes rêves en tant que sorcière. Si mon cursus scolaire était exemplaire, certains évènements furent tragiques, comme la mort de certains élèves lors de l'ouverture de la chambre des secrets. A l'époque le professeur Dumbledore était le seul qui avait garder la tête sur les épaules suites à ces agissement.

Plus tard, arrivant au termes de mes études j'ai travaillé longtemps au ministère de la magie à différent poste, ne trouvant jamais la place qui me permettrait de m'épanouir. En effet une chute lors de mon dernier match de Quidditch m'empêcha tout simplement de tenter de devenir Aurore. Mais une information me parvint : Poudlard recherchait un successeur au poste de Dumbledore devenu entre temps Directeur de Poudlard. C'est alors que tout simplement je fit acte de candidature, et par surprise, Albus vint par lui même m'offrir ce poste. Ce fut le début d'une grande aventure.

Mais plus le temps passait plus les jours s'assombrirent, et Albus, dans sa grandiloquence, et son attachement à la virtuosité de la justice, décida de fonder un ordre visant à défendre l'intérêt du monde de la sorcellerie : L'Ordre du Phénix. Cet ordre, ayant pour mission de prévoir les agissements de plus en plus fréquents d'un certain mage noir, était une sorte de seconde famille pour moi, avec des gens vertueux et en qui ma confiance était sans borne. Bien que cette mission était importante, j'étais tout de même encore attachée à l'éducation de mes élèves et on peut le dire, j'avais prit exemple de ma mère pour asseoir mon autorité, je représentait après tout la digne maison des Gryffondor. Mais un évènement très intéressant vint bouleverser la vie de Poudlard: l'arrivée des élèves de deux écoles étrangères, comme une sorte d'échange. Curieuse de nature, je suis décidée à apprendre de ces élèves, mais sauront-ils apprendre de nous ?